Pergola, voiles diaphanes, parfums de fleurs, de musc, d'encens roi, un corps sur la traine, abandonné respire les quelques instants de répits que le désir permet...
Un rayon chaud tourmente l'intimité suave, ambrée, humide, tiède, silencieuse.
L'ardeur de la vie extérieure, de sa lumière filtrée par les plis des voiles d'impudeurs éclabousse la pointe de ses cheveux collés sur son corps, sur ses tempes, dans le creux de ces reins empreints de stigmates de désirs éblouissants.
Ah ! Coquin, à peine revenu d'entre les jouisseurs de la vie que déjà tu nous laisse de très beaux sous-entendus très explicites, malgré moi...
J'avais raison, tu reviens avec du bon, du beau, du subtil et désirable.
Vil jouisseur ! Mais ouah... J'aime Môssieu. Si,si