La mort

Vêtue d'une longue cape noire
Recouvrant son visage
Pouvant nous laisser croire
Que ce n'était qu'un mirage

Dans la clarté de la nuit
Pas un son, pas un bruit
Pourtant tout était sage
Mais je vis son visage


Hagendaaz.

Qu'elle passe son chemin
Pour que l'on voit demain

J'aime cet essai, merci

Horrible sensation : nous sommes mortels !
Présence plus ou moins diffuse mais là… Intemporelle !
Pas de mirage, seule vérité absolue, si tant est que cela soit…
Serions-nous vivant sans elle, sans cette fin inévitable. ?

Combien de fois t’ai-je sentie ?
Combien de fois occupes-tu mes pensées ?
Combien de fois, sans rien à espérer…
Ai-je voulu oublier jusqu’à ta présence honnie ?

Très beau Hagendaaz : c'est bref mais très complet puisque ça dit clairement ce que ça a à dire.

Franchement j'aime vraiment beaucoup : les mots sont doux.