- Leyfea a écrit:
- Toute la réponse est dans la dernière strophe.
Un autre poème de toi que je lis et qui regarde l'ombre plutôt que la lumière. Voir l'ombre sans se voiler la face est une chose, lui porter toute son attention au détriment de la lumière en est une autre, du coup au bout de la lecture du 3ème ou 4ème poème où le mauvais côté ressort plus que le bon, j'ai envie de te mettre un bon coup de pied aux fesses (virtuel ) et te dire "éteins ton poste de TV ou déconnecte toi des actualités pendant un temps, la vie ce n'est pas QUE ce qu'on nous impose en continue"
La vie est ce qu'on en fait !
Merci pour ta lecture et pour ton commentaire, merci pour tes conseils, je te fais savoir que je suis comme l'oiseau de Pagda giva qui se trempe dans l'eau mais ne se noie jamais
Je t'offre ces vers inspirés de ton regard interrogatif:
Laisses-toi fleurir par l’ardeur
Qui attise ma sensibilité,
Toi, qui évites à ma lumière
De pénétrer ton ciel étoilé
Et à ton esprit d’user de l’odeur
De jasmin pour vaincre l’impassibilité
Qui t‘empêche de voir claire
Ce monde secoué par les hostilités.
Contre ton coup de pied virtuel,
Je t’offre la sève de mes reins,
Sur l’aile de l’amour universel
Je te mène à un monde humain
Savourer les caresses continuelles
De celui qui te met le soleil à la main
Pour te protéger des idées perpétuelles
Qui déracinent les roses de ton jardin.
Amitiés
Allaoua