A un, deux, trois, nous voilà !
Bientôt, plus de vaches dans les prés...
Courrez, bêtes à ruminer, ruminer quoi ?
Deux, trois et quatre les v'là dans le nez...
Effluves des fleurs des prés coincées, là...
Fragiles brindilles délicatement parfumées
Gardez votre quant à vous même car voilà,
Hyène de l'herbe verte pour fumette hallucinée,
Il ne reste que quatre à cinq mots étiolés, quoi ???
Joliment, dans les brumes néonatales, éparpillés
Kilométriquement incertains sont mes mots posés là...
Libèrent-ils, brume matinale, l'esprit de toute guerrière véléïté !
Minces sont les affaires d'âmes, de quant à soi...
Nulle impression ne persiste aux histoires abîmées
Où partent-elles donc les belles et leurs émois ?
Pintade à six, sept, neuf et occasions ratées :
Que reste-t-il de nos illusions, de nous, de moi,
Rêveur dans les herbes folles d'un vache de pré ?
Si seulement à huit à huit, à même à moi,
Tenace, je n'aurais lâché la bride consacrée...
Un, deux, trois voir cinq-à-sept perdu mais quoi ?
Vouliez-vous que je n'y croisse pas à la passion partagée ?
Walhalla ou pas, dans ses bras, le paradis est là !
Xéna, belle guerrière aux actes énamourés...
Y-avait-il une chance pour, que de toi énamouré, ainsi là...
Zébré de tes éclats solaires ne puis-je ne pas t'aimer ????