N’Avoir pu l’équilibre
Trouvé entre les brises des temps
Affronter hautement sa quête
Oubliant la vérité pieusement
Je me suis laissé
Dépasser par ce mal enflé
En moi tel une religieuse Mante
Prenant plaisir à faire gonfler
Les mensonges qui errent
Pour Te protéger ma Pair
Mon double, de Ta ferveur
A l’esprit non emplit de leurres
Mais à trop mentir, je cingle
Moi-même mon cœur si ému…
Et le tien de Ces battements
Chatoyants si doux et embrassés
Je serais là ou j’ai perdu, échoué
Loin des liens, et des Miens
Je me détache de ma Vie
Veux que Tu Vives, Ma Mie
De Ta plume de Larme écorchée
Vive de ma pique tant en abstrait
Qu’en concret… Que puis-je faire
Mon Amour, Ma tendre Candeur
J’offre ma sincérité sans mystère
Vague restant des rouleaux de la Mer.
NéO, Septembre.