Le Loup et le Renard

Il était une fois un vieux renard se croyait-il à la hauteur de sa renommée
De sa vie passante que nenni pas même un singe ne l’avait eu à la ruse
Cependant de bien mauvais tours il joués à ses congénères canidés se sachant malin
Mais bien mal lui en pris de se frotter au loup des forêts de sa contré
Haut sur ses pattes et point de demi bête pour autant, le loup était connaisseur des belles paroles
Les utilisées t il pour flatterie envers ses proies quand il était solitaire et loin des siens

Maitre renard moqueur de nature lui tint un langage dans ces mots
« Qu’il doit être peu commode d’être si haut sur patte et prendre le vent froid permanent dans des naseaux si énormes »
« Il est bien facile de vous trompez en passant à ras de terre ; vous n’y verriez que du feu
N’en prenez point outrage de ce que je vous dis, mais dame nature ne vous à pas comblé
Je suis un renard et par ma réputation il me serait aisé de vous tromper de multitude façon
Vous n’y pourrez rien et serait obligé de subir ce que bon me semble et ainsi vous mordre le séant de multiples façons

Seigneur Loup répondit sans tarder à se langage vaniteux de basse provenances
Ne vous y fiez pas mon cher ; vos cachoteries et tromperies ne suffiraient pas pour venir à vos fins
Je serais tôt ou tard ou vous vous trouvez quand bien même le pensez vous être si malin.
La fumée monte au ciel ; les herbes parlent ; votre odeur est présente et un jour vous commettrait l’erreur qui me dira tout.
Ce jour là de votre vie sera la fin de vos tromperies car je vous dégusterais de bonne grâce
Le renard pris a son jeu s’en trouva fortement offusquer et rétorqua qu’il en serait ainsi Il ne serait point question que quelconques leçons ne provienne d’aussi vil animal.
Ainsi se retourna t il à peine que le loup le mangea sans plus de formalité que cela.

Qui est pris qui croyais prendre ; nul ne s’abreuve longtemps des traitrises d’autres
Il n’est point nécessaire d’être fort si la réflexion vous montres de son doigt accusateur ce qu’il doit être su.
Le loup n’a fait point utilité de sa force ; mais à provoquer le renard sur son propre terrain se croyait il plus malin et dissimulateur de ses intentions.
Plus tôt est connu le mal, plus il est aisé de le traiter avec justice.


Starlight PJKing (sous droits d'auteur)

Ah oui ... En effet Melany; c'est juste qu'en fait je les ai copié/collé de mes pages directement sur le PC. Je sais que c'est assez bizarre, mais quand j'écrit en brouillon je ne met les ponctuations qu'après pour me mettre à la place du lecteur. Donc en fait j'en ai remis quelques unes mais pas toutes .... d'ailleurs il doit y avoir quelques fautes d'orthographe aussi. Désolé. Merci beaucoup en tout cas ... la critique permet de faire avancer les choses.

Melany a écrit:

De rien.

Ce qui est le plus embêtant, c'est que l'on a du mal à différencier qui parle dans les dialogues.

J'ai en effet vu quelques fautes d'orthographe. Si tu veux, je te conseille d'aller sur ce site génial qui indique et souligne les fautes de Français : http://bonpatron.com/. Mais attention, avec ce site, il y a une limite de texte à respecter (250 mots, pas plus.)

ok Mel ... merci beaucoup !

Un jour vient le temps des moissons.
Soyons donc attentif aux graines que l'on sème.
... il est également dit que : ce que l'on n'apprenda pas par la Sagesse, nous l'apprenons par la douleur

Scarabe j'aime beaucoup le passage dans lequel tu dis que :ce que l'on n'apprenda pas par la Sagesse, nous l'apprenons par la douleur. C'est hélas tellement vrai !!!

Merci pour ta griffe sur cette fable.