Je t’ai découvert si désespéré
Plus rien ne comptait, ta vie s’écroulait,
Tu t’es accroupi près du ruisselet,
En serrant les poings, tu t’es effondré
Les larmes ont coulé, tes yeux mordorés,
S’emplissaient de larmes que tu contenais
Ta peine était grande et je me devais
De guérir ton cœur et d’y pénétrer,
Je suis une fée qui veut ton bonheur
Laisse-moi t’aider, à panser ton cœur,
Elle s’en est allée, te voilà prostré.
Jour après jour, ma magie opérait,
A ma grande joie, réapparaissait,
Ton envie de donner et d’espérer.
Dyane