Ses jambes descendaient avec force
L'escalier, et mon corps stoppa son amorce
De franchir la première marche
Mes yeux restèrent posés sur un visage
Que même les mots beauté et grâce n'envisagent
L'infime vérité de cet homme là
Son allure athlétique,
Son sourire hypnotique
Me voilà prise au piège
Des battements en arpège
Mon coeur s'est mit à battre
Comme pour aller le rejoindre
Le temps s'est arrêté effaçant tous les autres
Mes mouvements anéantis ne pouvant rien feindre
Encore maintenant
En vous écrivant
Sans en dire trop
J'ai ce sourire idiot...