Je jette un coup d'oeil à la fenêtre.
L'aube grisonne à peine ce matin de Novembre
Les maisons agglutinées s'effacent dans la brume
De fines gouttelettes de brouillard caressent le pavé
Les ultimes murmures de la nuit cognent au carreau
J'admire le superbe paysage
Jusqu'à ce que l'aurore effleurent la cime des arbres
Et frôle les courbes des branchesJe jette un coup d'oeil à la fenêtre.
Jusqu'à ce que l'aurore effleurent la cime des arbres
Et frôle les courbes des branches