C’ est ainsi que se déchire un voile..
Le vent sur la Costa Del sol
Est venu assécher les larmes diluviennes
Le courant est arabe est le vent espagnol
Tous deux se sont unis aux sons de la neuvième.
Les noces étaient utopiques illusoires
les unions paraphées à l’encre sympathique
Des mariages royaux qu’on voit dans les histoires
Sont vrais que dans les rêves …dans les cœurs utopiques.
Il pleut .la robe blanche est sale recouverte de boue
Les bouquets de jasmin aux bras de jeunes filles
Ressemblent à des pantins.. le marié à genoux
Rassemble ça et là quelques pâles jonquilles.
La mariée aux yeux verts au travers de son voile
N’aperçoit au désert que la dernière étoile
C’est celle de l’amour qui s’ ‘éteint doucement
Il pensait être un homme il ne fut qu’un …instant.