femmes vénales, femmes stupides

J'aurais pu dire la même chose que toi !
Il y a des tonnes de filles, oh oui, mais les pauvres hommes comme tu le dis si bien sont souvent aveuglés par les façades peinturlurées.
Je ne sais pas où elles ont étaient conçues, les nouvelles filles, mais je trouve qu'en plus d'être... superficielles (pas toutes), elles ressemblent étonnamment à des caniches !!!

Hauts talons (sur lesquels elles s'escriment à rester en équilibre), jeans serrés et taille basse (juste pour faire voir le string super sexy) tu parles , blouson cour et coupe en dégrader mi long... et toutes ont la même démarche ridicule !

Moi, j'avais le style... sombre, manteau long noir, cheveux longs cachant le visage, maquillage discret yeux bleus soulignés de noir, très New wave, limite style vampire (je suis rousse, donc peau claire) et surtout, oui surtout, mes belles bottes cavalières et chemises blanches....
Pas le genre de caniche d'aujourd'hui.... même mes puces me disent souvent quand on se promène en voiture " hé regarde maman, encore un caniche !!!" pourtant, ce n'est pas un chien qu'elles me montrent...

Lol, c'était la minute Linda

J'ai vu... ahhhhhhh les bretonnes, le lien celtique est décidément très fort...

La grenouille que je suis a vraiment apprécié ton poème.
T'inquiètes! Tu trouveras certainement un mec bien, c'est que le précédent ne te méritait pas.
Pour ma part, j'ai trouvé ma rainette par hasard et en même temps une petite feuille de nénuphar pour nous y poser et crois moi, j'avais été déçu des grenouilles que de beaux crapauds ne cessaient de séduire à coup d'insectes

En tous cas, belle écriture que la tienne.

"Il préfère les folles immatures
A la sincérité de sa destinée
Moi, sa conquète dernière d'âge mûr
A qui il met des barrières, des murs,"

Chacun se doit de vivre ses propres expériences
une femme d'age mur ne pourra que donner un avis que l'on écoute ou pas
Je suis passé par là
J'ai été ce jeune homme que tu décris
Et je poursuis ma vie

Comme on le disait, il faut avancer Eonile.
Moi j'ai connu bien des choses, de la rue à mon tout récent divorce, mais c'est une force ces épreuves.
Et très franchement, l'essentiel est de rester sincère envers les autres et surtout envers soi même et nos sentiments.
La vie est courte!

Oui, des fois plus courte que l'on croit. Profitons de tout, à mille à l'heure.

Bonne journée vous deux.
Linda

Ouh là, j'en connais pas mal qui doivent se mordre les doigts, si elles se reconnaissent, moi j'étais plutôt jean chemise et naturelle, toujours solitaire, timide, le nez plongé dans un bouquin haïssant ces filles qui se conduisaient et oui ma juju comme des caniches et qui me faisaient sentir que j'étais de bas étage car je ne me conduisais pas comme elle. Mais finalement je m'en moque, je suis moi et c'est le plus important, merci éonile pour ton poème qui m'a mis du baume au coeur

Mais là on s'égare, ce fut un reel plaisir de te relire

Je vous ai lu attentivement, très sympa....
Merci à vous pour ces commentaires
Huor,Linda,éoliane,Crinouille
à bientôt !

éonile

joli

Que dire....difficile d'avoir son style car après tout nous voulons plaire
mais je pense que n'importe quelle femme peut séduire un homme de cette manière et non s'en faire aimer
après chacun n'a que ce qu'il est allé chercher

Une amie me disait : "Au moins avec toi les hommes n'ont pas de surprise au réveil !", elle était très belle, toujours tirée à quatre épingles, maquillée jusqu'au bout des ongles, je l'enviai, j'avoue jusqu'au matin où surprise au saut du lit, les cheveux non coiffés, le visage pâle, elle m'a vraiment fait peur, digne d'un film de zombie... Je lui ai dit, elle le savait car elle était humaine malgré tout....

J'ai compris ce qu'elle voulait dire, j'aime beaucoup ce poème, tellement vrai

Les hommes brisent leur foyer pour un instant dans le lit des "caniches" au lieu de voir les vraies valeurs, mon premier mari en a fait parti, que de souffrance, j'ai toujours été ronde et incapable de rivaliser avec elles, ces filles longilignes et cruelles, blonde décolorée, maquillée à outrance avec un coeur de pierre.

Le regard d'un jeune enfant ne les arrête pas, elles volent son papa sans le moindre remord

Mais je m'égare, trop de souvenirs me submerge en lisant ce poème, désolée... Je n'ai jamais su me taire et pourtant j'ai longuement essayé...