A l'ombre des mots & Les Collections Éphélides La magie de la poésie |
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| Bébé made in Taïwan | |
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Starlight PJKing Flamme du forum.
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| Sujet: Bébé made in Taïwan Mer 21 Oct 2009 - 0:07 | |
| Salut tout le monde ... voici un petit extrait du livre que je suis entrain d'écrire. J'ai envie de vous le faire partager et bien entendu avoir vos critique; observations ou pourquoi pas vos félicitations si cela vous plais. Une version anglaise devrait paraitre fin 2010 début 2011 Toutefois Attention !! Ce manuscrit est intégralement protégé par les droits d'auteur. Toute reproduction; copie; modifications ou plagiat même partiel et strictement interdit en vertus des dispositions relatifs au droit d'auteur.Bébé made in Taïwan Nous avons atteints une autre époque ; une époque ou tous les tabous ont presque disparût et ou la morale et les valeurs que nous avions reçus en héritage de nos parents, ne sont devenus que des phrases qui résonnent dans nos têtes. Nous voici en janvier 2100 ; le 28 exactement et un Noël de plus vient d’être partagé en famille, arrivé, puis disparût des souvenirs comme les précédents laissant place aux emballages vides ornant les poubelles dans les rues. Noël, fête religieuse aujourd’hui n’est devenu qu’une fête commerciale ou les magasins rivalisent d’idées pour faire un chiffre d’affaires meilleur que les années précédentes. Les riches font leurs cadeaux à la hauteur de leurs portefeuilles, et les personnes plus modestes, font tous ce qui est possible pour satisfaire le plaisir de leurs proches. Certains n’auront que pour seule possibilité, une prière dans l’église depuis longtemps désertée. La croyance n’est plus de ce monde, et maintenant les rues sont peuplées par un peuple de Saint Thomas. Aujourd’hui, toutes les familles n’ont pas la joie affichées comme dans les années 1900 ou les plaisirs étaient partagés et où les valeurs étaient encore bien présentes. En effet les gens de cette époque ci, tirent des rictus forcés pour ne pas paraître envieux, ou ne pas laisser la haine de l’autre l’envahir. Faire bonne figure … c’est la phrase à ne jamais oublier durant ces périodes de fêtes. Celle ou celui qui ne connait pas l’hypocrisie, n’est pas digne de cette époque faite d’évolution dont certaines sont devenues gigantesques pour les maladies d’autrefois, mais sans pour autant avoir fait diminuer la mortalité humaine ; et pis encore animale. La mesure est donnée ! Production ; rentabilité ; richesse et au diable le civisme, le service, et le bonheur de son prochain. Il ne reste que quelque rare forêts ; vestige qui témoigne de ce que le mot « respect » voulait dire. Les forêts ont étaient pratiquement toutes dévastées, et l’humain de cette époque à dû créer des parcs aménagées, fournis en air pur et gardé par des androïdes au métal froid. Quiconque pénètre dans la zone pour y trouver le souvenir de ces époques passées, ou le règne animal était encore présent, se trouve abattu sans sommations. Les animaux en grande partie, n’ont pas pus survivre à la pollution et l’égoïsme de l’homme. Ainsi, les pôles ont disparus, et certaines grandes villes accueillants des milliers de personnes, sont désormais engloutis sous les eaux, et 90% de l’espèce animal à disparut. Les chiens ; chats et oiseaux ne sont plus que de vagues souvenirs qui résonnent encore dans la tête de certaines personnes âgées, qui emporteront avec eux toutes traces de ce que pouvais être la vie et la beauté de celle-ci sur terre. Rares sont les animaux encore vivant, et ils sont protéger la encore par des hommes en armes équipés de dévoreuse âmes dans des zoos haut perchée et loin des mégapoles, à l’image des amazones qui jadis, protégées farouchement leurs vertus et leurs territoires. Les hommes n’en on pas moins souffert, puisque la reproduction est devenu presque impossible sans donné naissance à un enfant difforme, donc l’anatomie fait d’avantage pensée à un dessin raté du célèbre peintre Picasso, que rares sont ceux et celles qui se rappellent encore les toiles. Certain dans les œuvres du maitre voient de l’artistique, d’autres regarde des couches de peintures qui sont venues salir le support blanc qui les accueilles, sans voir l’évidence de ce que le maitre à pu avoir comme inspiration au moment du coup de pinceau. Mère nature c’est elle aussi lassée des insultes que l’espèce humaine n’a cessée de proférer à son encontre. L’hétérosexualité est devenue ringarde, l’homosexualité s’affiche en haut et en couleurs, les gens bizarre ce sont nous, gardien du souvenir de ce que l’on a bien voulue garder en mémoire de la logique de mère nature.
Dernière édition par Starlight PJKing le Mer 21 Oct 2009 - 0:38, édité 1 fois | |
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| Sujet: Re: Bébé made in Taïwan Mer 21 Oct 2009 - 0:10 | |
| C’est alors qu’en sortant de mon humble immeuble aux alentours de 14 Heure à l’aspect gris noir pour tenter de profiter du mieux que je pouvais de ce jour, loin du tumulte pressant de mon bureau, qu’en me promenant dans les parages, je fut attiré au dehors par un chauffeur de taxi qui roulait inhabituellement doucement à bord d’une Mercedes noire dernier cri, mais qui semblait avoir déjà pas mal souffert sans doute très malmené par son propriétaire.
Personne à l’arrière, mais en revanche le véhicule semblait être guider de lui-même comme si un fantôme tenté d’éviter à tout pris tout ce qu’il pouvait, afin de protéger les alentours au dehors et le chauffeur qui semblait être ivre mort au volant. Il tenait dans sa main gauche un sac en papier qui laissé apparaitre le haut d’un goulot de bouteille en verre. Nul doute que cela ne pouvait être de l’eau quand bien même la bouteille n’était pas visible. Sa main tenait le volant d’une façon fort approximative et mal assurée, et la tête faisait des ballants de haut en bas et de droite à gauche a chaque légère déformation sur la route, comme si elle était articulée sur un ressort trop mou ou usé pour supporter le poids du cerveau de ce chauffeur manifestement trop souvent imbibé par l’alcool. Je m’arrêtais pour observer la scène en me demandant ou tout cela allait bien pourvoir finir. La voiture passait devant moi maintenant presque totalement à l’arrêt, monta sur le trottoir et fini sa course sur la dernière marche d’une longue série menant à l’entrée d’un bâtiment à la façade sculptée. Le chauffeur lassa tomber sa tête sur le volant qui eu l’effet de faire retentir le klaxonne de façon permanente en faisant sursauté un veille homme qui avait manqué de peu de subir l’inconscience de ce chauffeur.
Cet homme d’apparence usé, montra qu’il ne l’était pas tant que ça, et proféra une volé d’insultes en donnant des coups de pied sans retenus dans le taxi qui n’en été manifestement pas à ses premières fois. Après avoir rassasié son moment de colère l’homme se calma en voyant que le chauffeur n’était plus de ce monde temporairement. Il s’approcha du côté conducteur, lui sortit la tête du volant en grimaçant devant le spectacle désespérant de ce qui était portait à sa vue. Il grommela encore quelque inaudibles mots sauf une phrase très claire du genre :
- Foi de Nertion, tu aurais été mon fils je t’aurais achevé !!
Je m’approchais de lui et appelé les secours et c’est ainsi que je pus apprendre que j’avais en face de moi un homme avec beaucoup de tempérament du nom de, Robert Nertion, qui venait de se faire une belle peur bleu. Il tentait maladroitement de m’expliquer pourquoi il avait réagi si mal en infligeant de sérieuses bosses supplémentaires au véhicule que conduisait l’ivrogne du moment, mais je lui fit comprendre qu’il n’avait nul besoin de se justifier, et que j’aurais probablement moi-même agis peut-être plus agressivement. Il ne dit plus un mot, me gratifia d’un sourire quelque peu édenté et partit soulagé d’être tombé sur un homme aussi conciliant que moi, sachant que son acte aurait pu lui couté cher si les forces de l’ordre l’aurait appris. Entre temps les secours arrivèrent pour charger le peu qu’il restait d’humain dans l’homme au volant de la Mercedes, et une fois celui-ci embarqué, je me retrouvais de nouveau seul sur le trottoir sale et gris devant le taxi resté la, tel qu’il était arrivé.
Ainsi dans les rues sous un soleil voilé par la pollution ambiante qui nous donne du mal à respirer et irrite nos pauvres poumons, Je me retourne vers les longues marches de pierre couleur crème usées par le temps, et je suis attiré par ce bâtiment qui n’a rien à voir avec les grattes ciels pratiquement collés les uns aux autres, pour parer à la surpopulation désormais existante. Au milieu de ces tours de bêton et de verre, je suis surpris de voir cet ancien bâtiment au milieu de ces géants moderne. Je lève mes yeux pour lire l’inscription écrite, gravée sur la façade en toute lettre ; et je peux y déchiffrer malgré la crasse, « Bibliothèque ». C’est la que j’allais rencontrer Lucy Waters, dans un de ces rare coins encore existant, qui témoigne de l’histoire de l’homme ; une bibliothèque.
Mais à ce moment précis je n’en savais encore rien. Cette bibliothèque communale avait su conserver avec le temps, ses grandes colonnes à l’entrée elles aussi en pierre blanche, (du moins on les supposées blanches) et cela donnait plus l’impression de pénétrer dans un temple romain que dans un lieu de culture et d’enseignement. Cela dit, impossible d’oublier que nous sommes en 2100 tant l’immense façade qui se trouvent en haut des marches, avaient été salies par des années de pollutions, désormais incrustée au plus profond de la pierre. Puisque de toute façon j’avais décidé de ne rien faire, j’eu envie de gravir ces marches pour satisfaire ma curiosité, et voir ce qu’il pouvait bien y avoir dans un aussi vaste endroit comme livres. Au moment de pénétrer dans l’enceinte de ce temple de culture, j’ai imaginé que même si les portes étaient entrouvertes, il devait être fermé tant il faisait sombre à l’intérieur. Mais il y avait une femme d’un certain âge derrière un bureau qui me regarda du dessus de ces lunettes en demi lune d’un air sérieux, comme pour m’avertir que si j’osé venir ici perturber son silence, je risquais fort d’avoir à faire à elle d’une façon qui je suis certain, ne me conviendrait guère. Impressionné par ce visage fermé, je stoppai net sur le pas de la vaste porte en bois. Toujours en me regardant de son air presque menaçant, elle me lança non sans un bonjour :
- Je peux faire quelque chose pour monsieur ? Je m’avançais le plus silencieusement possible vers sont visage qui me dévisagée et ou je pouvais maintenant discerner dans la pénombre un badge argenté ou il y avait écrit « bibliothèque municipale, Linda pour vous servir » et je lui répondis en la saluant de la tête :
- Je suis entré ici par curiosité, parce qu’il est rare de voir encore d’ancien monument comme celui-ci au milieu d’une mégapole Madame. Mais j’aime la culture et … - Et quoi ?! Ce n’est pas un musée Monsieur mais une bibliothèque. Si vous venez ici pour la culture et lire en silence, alors vous êtes au bon endroit, sinon je vous conseil le musée de l’évolution humaine, dont le conseil touristique se fera une joie de vous indiquer l’adresse. - Non ; comme je vous l’ai dit je m’intéresse à la culture et au livre. Je suis journaliste et je cherche ça et là des choses qui peuvent m’intéresser. Cela peut être tout et rien. - Je n’ai pas le temps pour un interview si c’est ce que vous voulais. - Non mon but n’est pas de vous ennuyer Madame je veux … - Oui je sais ; j’ai bien compris. Hé bien ne restez pas planté là et allez vers le fond dans l’allée 38I, vous y trouverez des archives d’informations datant de l’avant et après grande inondation. Elle replongea aussitôt sa tête dans son registre imperturbable comme si un homme invisible l’avait tournée sur « off ». J’étais quand même agacée de tel manque de politesse, et en quittant le comptoir pour me diriger vers les allées, je me surpris à grommeler tout bas « pfff Linda …. vieux tromblon oui !! ».
En parcourant les allées, je vis assis à une table au fond de l’allée 19N concernant l’enfance en général, d’après ce qui il y avait écrit en tête d’allée sur une pancarte plastifiée rouge, une femme brune plongée dans un livre. Elle se tenait immobile les coudes appuyés sur la table la tête dans les mains. Au moment ou je la vois, je ne le sais pas encore, mais Lucy à 42 ans, et elle vie à Lyon, devenu la nouvelle côte d’azur française puisque toute l’ancienne et la Corse comprise, ont étaient engloutis à jamais sous les eaux profonde de la mer méditerranée, à l’image de la mythologie de l’Atlantide dont quelques vestiges des Alpes montagneuse, pointe encore hors de l’eau, donnant naissance ça et là, à des îles de nos jour surpeuplées, prise d’assauts par des personnes fortunées. Je l’ai rencontrée dans la pénombre d’une des rares lumières que diffusent les ampoules à économie d’énergie.
Dernière édition par Starlight PJKing le Mer 21 Oct 2009 - 10:09, édité 2 fois | |
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| Sujet: Re: Bébé made in Taïwan Mer 21 Oct 2009 - 0:12 | |
| Elle portée un tailleur noir et un pantalon cintrée à la taille qui lui donnée l’apparence d’une femme d’affaire. Cela dit, au premier coup d’œil, on savait qu’elle n’était pas femme à jeter l’argent par les fenêtres pour se procurer des marques et se cacher ainsi sous une apparence de « femme moderne ». Malgré la pénombre des lieux, la lumière faible située au niveau de son visage, laissée apparaître un front dégagée et un beau visage bien proportionné, elle paraissait avoir la table pratiquement au niveau du menton, sans doute du à sa taille qui ne devait pas être supérieur au mètre soixante cinq, témoignage que ses parents ne devaient pas être grand non plus supposais-je. L’ensemble du personnage était cependant une merveille, et je restais pendant un moment debout, devant la table ou elle fixait son livre. Je me demandais ce que pouvais lire cette femme seule, d’apparence très soignée, les cheveux lisses et brillants aux ongles parfait pour parvenir à rester aussi concentrée et imperturbable.
Je m’approchais, et je vis que la couverture parlait de natalité. Comment faire un enfant, et comment le faire naître dans de bonne condition. Intrigué par ce livre qu’elle tenait, je pris à mon tour un livre quelconque et je m’assis à la table ou elle se trouvait, face à elle, de telle sorte que je puisse me faire remarquer discrètement ; histoire d’entamer une conversation courtoise et sans arrière pensée. J’entrepris d’ouvrir ce livre qui ne jouait qu’un rôle d’accessoire, et je l’observais discrètement. Lucy dégagée un parfum léger et subtil d’un souvenir printanier, ce qui allait bien avec ses jolies yeux bleu; rien à voir avec les senteurs fortes et à la limite du nauséabond, que certaines femmes se versent dessus pour attirer un mâle hétérosexuel. Là est le problème, il faut se faire remarquer ; faire tourner les têtes. Fini l’époque ou ces messieurs faisaient la cours à ces dames, car ils sont en partit trop pris par le temps pour amasser des fortunes afin de ne manquer de rien. Désormais ce sont les femmes qui cherchent un des rares hommes non mariés, en bonne santé et hétérosexuels, puisque outre le fait que la pollution a rendu miraculeux la naissance en bonne santé d’un enfant, il existe autant d’homosexuels que d’hétérosexuels, sauf que tous, veulent un enfant. Comment est-ce possible quand mère nature ne vous a pas dotée des organes nécessaires ? Comment est-ce possible quand les rares hommes disponibles sont atteint de stérilité ou ayant des spermatozoïdes atrophiés ?
Je tournais les pages de mon livre bruyamment sans les lires et en toussant, mais je faisais en sorte qu’elle ne puisse pas se douter un instant qu’elle était mon centre d’intérêt. Je n’avais pas besoin de forcer la chose puisque de toute façon, elle ne prêtait guère attention à ce qu’il se passé autour d’elle. Il m’a semblé que j’aurais pu la déshabiller sans qu’elle s’en rende compte, tant elle était concentrée par ce qu’elle lisait. Il me fallait donc faire une chose qui détournerai son attention sur moi, mais je savais que je ne pourrais pas répéter mon geste bruyant et volontairement maladroit, sans prendre le risque de la fâchée ou de la braquer. En grand comédien, j’élaboré un stratagème en feignant de me relever de cette table ou nous étions, et en faisant exprès de pousser mon livre sur le sien. Bien sur, j’allais devoir m’excuser platement, en me traitant de tous les noms d’oiseaux, en prenant une mine déconfite d’avoir perturbé sa passionnante lecture dans le but unique de provoquer chez elle une réaction, mais je ne suis pas passé à l’acte ; pas de cette façon. Une autre idée grossière m’était venue à l’esprit, et semblée passer un peu mieux dans mon esprit, une façon plus courtoise et excusable de déranger.
N’étant pas un garçon timide à l’excès, au bout de 10 minutes voyant que rien ne se passé, je décidé de mettre mon plan en action. Ainsi je me relevé, fis semblant de trébucher sur le pied de la table et basculé mon corps tout entier en avant ce, qui eu pour effet de faire tomber mon accessoire sur ses genoux. Le plan était lancé et je ne pouvais plus reculer. Elle sursauta, me regarda d’un air menaçant alors que je restais les bras tendu vers elle comme si je voulais récupérer mon livre sur ces jambes et je fis mon numéro. Par bonheur je vis son visage se radoucir en me lançant non sans un léger froid quelque chose comme : « ce n’est pas grave, cela aurait pu m’arriver ». Ce fut à ce moment précis que je compris que le dialogue allait être possible et que j’étais face à une personne sympathique ; intelligente et de surcroits très jolie. Cela allait faciliter le dialogue entre nous pensais-je, il ne fallait pas que je laisse cette opportunité s’en aller, et ainsi après lui avoir fait de multiples et plates excuses, je lui dis :
- Thomas, c’est mon prénom !! Plus précisément ThomasVernom ; On n’y voit pas très clair ici n’est-ce pas ? C’est probablement pour cette raison que je me suis raté sur la table, et laissé s’échapper ma lecture. Amusée par ma pseudo maladresse ; la réplique ne se fit attendre longtemps. Elle ramassa le livre doucement, regarda le titre de mon ouvrage, « m’aider à accoucher », me le tendis pour que je le prenne non sans me faire un sourire moqueur. - Je vous le répète, ce n’est pas très grave, j’étais concentrée sur mon livre et je suis quelque peu tourmentée. - Ah … merci de me le pardonner. Mais si je puis me permettre d’être indiscret ; tourmentée pourquoi ? auriez-vous des problèmes Madame ? - Mademoiselle ; mais appelez moi Lucy. Non je n’ai pas de problème particulier, si ce n’est que j’ai eu 40 ans le 8 octobre dernier, et que je n’ai a ce jour pas encore d’enfant. Je cherche juste une possibilité de pouvoir avoir la chance au moins une fois dans ma vie, d’être appeler maman. Malheureusement je suis célibataire, et je n’ai pas trouvé l’homme disponible capable de me donner ce que je veux et ce dont j’ai besoin moi plus personnellement.
Dans ses paroles je sentais de la détresse derrière son sourire, car nous savions bien elle comme moi qu’un première enfant à 40 ans était tard pour une femme. Ainsi les heures passées, et elle me parlait de ce que fut sa vie dans les grandes lignes tout en prenant soin de garder des réserves. J’apprenais ainsi, qu’elle était ici aujourd’hui parce qu’elle avait entendu parler d’un pays ou les gens étaient tellement nombreux, qu’ils leurs étaient interdit sous peine de mort, de procréer si ce n’était pas pour d’autres et pour des personnes qui vivaient hors de leurs propres pays. Comme si celui-ci était devenu le dernier endroit ou il était encore possible de procréer avec un risque minimum. Une forme de « réserve » pour nourrisson en voies d’extinction. Lucy était donc venue en quête de découvrir ou se faisait ces enfants dans l’espoir de pouvoir en avoir un, mais comment ? Vers qui se diriger ? Cela faisait trois mois qu’elle épluchait les archives sans rien trouver. Elle s’était de même adressée à de multiples organisations et divers « catalogues » pour avoir un jour la chance de pouvoir devenir à son tour une maman. Le résultat était toujours le même ; elle était trop âgée et ses revenues étaient modeste même si elle avait de l’amour maternelle à revendre. De plus d’autres personnes plus jeunes en voulaient eux aussi et ils étaient donc prioritaire pour la parentalité.
Aussi à ses paroles, je vis une larme perler au coin de son œil qu’elle essaya de dissimuler tant bien que mal, mais je fis semblant de n’avoir rien remarqué sentant son émotion monter. Le moment d’un petit remontant chaleureux serait le bienvenu, je pris donc le risque d’inviter ma presque inconnue en tout bien tout honneur, à venir boire un café dans le salon oxygéné et climatisé qui se trouvé en face de la bibliothèque, de l’autre côté de la route ou s’entassé d’ailleurs des épaves que les anciens propriétaires n’avais pu se débarrasser faute de moyens. Même la ville ne pouvais plus rien y faire parce que submergé par le fléau. Personnes n’avais plus les moyens de payer ou d’entasser ces débris de ferrailles qui polluaient sans vergogne le paysage. La vie étant devenue excessivement chère et le simple fait de manger à sa faim au quotidien pour bon nombres d’entre nous étais un miracle. Paradoxe mondiale puisque pendant que certains cherchais à procréer d’autre s’évertués à tuer.
Dernière édition par Starlight PJKing le Mer 21 Oct 2009 - 0:41, édité 1 fois | |
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| Sujet: Re: Bébé made in Taïwan Mer 21 Oct 2009 - 0:14 | |
| Mon invitée accepta volontiers ma proposition en me regardant dans les yeux avec un mélange de peine mais de colère mêlée. Elle rejeta le livre devant elle certaine que de toute façon rien dans celui-ci ne lui servirait. Lucy se releva donc de son banc métallique moderne mais très inconfortable qui ornée ce lieu, et me pris par le bras pour enjamber l’obstacle inconfortable qui avait accueillit son pauvre postérieur endolorie par les heures passés assises dessus. Elle frotta énergiquement son tailleur pour le défroisser et enlever les poussières des livres entassés. Je quittais donc la lumière jaunâtre produit par les abats jours des tables en sa compagnie pour retrouver celle grisailleuse visible à l’extérieur au bout du couloir qui n’avait guère plus que le nom de « jour ».
C’est silencieux et pensif en sculptant le paysages qui s’offrait à nous que nous avons descendu les marche de la bibliothèque, comme encore choqué bien que pourtant habitué, nous découvrions notre monde. Je m’empressé de traverser la rue en sa compagnie et de pousser la porte épaisse et hermétique du grand café/bar nommé « l’Air du temps », qui gardé jalousement son oxygène produit par une machine qui en garantissait, et avec courtoisie et savoir vivre j’invitais Lucy à pénétrer dans ce lieu à l’air presque pur artificiel pour qu’elle soit en sécurité, bien que bon nombres de personnes s’entassaient autour des rares coins encore plus ou moins disponibles. Certes ce qui portait le nom de « café » ne pouvait pas être du vrai café, car aussi cher et rare que le caviar des temps anciens vu sa faible disponibilité. C’était malgré tout un café, mais élevé en serre au goût médiocre moulu en poudre et mis en machine. Ainsi conditionné, un zest d’eau chaude ferait l’affaire, rendant ce semblant de café buvable. De toute façon, nous n’avons plus le choix, c’est désormais le café de tous citoyens ; enfin du moins pour celles et ceux qui peuvent le payer, car à 20 euros la tasse, certains n’ayant pas les moyens, préfères faire s’en passer. C’est ce que je fais d’habitude d’ailleurs moi aussi, mais là, la situation justifiée la dépense, et tant pis pour les 40 euros, car je sentais que je tenais quelque chose qui paraissait être pour le moment sans grande importance, mais qui se révèlerai être peut-être, un témoignage important de ce que nos vies étaient devenues. Nous avons enfin fini par trouver un coin debout sur une table haute, et avons discutés de nos vies tumultueuses ; de la pluie et du beau temps, comme si ces échanges de paroles stériles étaient nécessaires par respect pour le politiquement correcte.
J’ai de suite était attiré par Lucy Waters, non parce que c’était une belle femme, mais parce que la peine des autres, me causes de la peine, bien qu’habituellement ma profession m’interdit de m’attacher de trop à mes sujets. Bien entendu, à notre époque cela n’est pas commun de se soucier du bien être des autres, et vous dire que sa beauté n’était pas une raison de plus de l’aborder ferait de moi un hypocrite. Ce n’était toutefois pas la raison première de mon intérêt pour elle, mais j’avais un besoin irrépressible de savoir ce qu’une belle femme comme elle, à 15H00 par un froid et gris après midi, faisait dans une bibliothèque au lieu d’être au travail. J’aurais pu aisément imaginer qu’elle était en vacance, ce qui aurait pu être possible, mais nous étions tard dans le mois de janvier, et les fêtes étaient derrières nous depuis déjà longtemps. De plus, que viendrais faire une personne tourmentée dans une bibliothèque pendant ses vacances. Lucy avait fini par se confier un peu plus à moi, et cela est d’autant plus surprenant que j’étais un parfait inconnue à ses yeux il n’y avait encore que trois jours, même si je lui avais offert un café.
Un café n’a jamais eu le pouvoir de délier les langues. Sans doute avait elle besoin de parler, mais je pu savoir qu’elle vivait seule, dans la rue de Provence ou l’on pouvait apercevoir à l’époque selon les vieilles photos, des péniches sur le Rhône et des promeneurs se baladant en quête de paix. Aujourd’hui cet endroit est devenu un port de marchandise et il ne reste que des vestiges de ce qu’était le Rhône. Tout cela semble avoir été engloutis selon les anciens par un réchauffement climatique important, ayant déséquilibré le système écologique terrien. Le travail d’expert juriste de Lucy lui prenait en théorie tous son temps parce qu’elle disait être sollicitée par les différent tribunaux français. Tout cela n’avait à mon sens pas de logique, attendu que peut de gens pouvaient se payer les conseilles juridique d’une experte de sa valeur, et qu’elle se trouvée dans cette bibliothèque à chercher une réponse aux questions qu’elle se posait concernant l’adoption écrit par le Docteur Martin Dean du Children hôspital de San francisco dans post street. Trop de questions restée vagues dans mon esprit, il fallait que je comprenne, car je sentais que Lucy n’avais pas choisie ce livre et cet auteur par hasard au milieu de millier d’autres livres. Est-ce une déformation professionnel du à mon travail de journaliste ?! Est-ce ma curiosité quelque fois trop développée me jouant sans cesse de nouveau tours qui me piquée ? Je ne sais pas dire, mais ce que je sais, c’est qu’aujourd’hui était une aubaine car je ne travaillé pas. D’ailleurs mon travail n’était qu’un quotidien répétitif pour conter aux gens qui s’en foutaient, les malheurs des autres. Rien de surprenant à notre époque puisque l’époque le veut ainsi. Il nous fallait donc trouver sans cesse des scoops, quelque chose qui arriverait à faire tourner les têtes vers nos gros titres. Cela n’était pas d’une grande évidence, et nous nous comparions dans le métier à ces femmes aux parfums agressifs, qui pour certaines auraient pu vendre leurs odeurs à un dératiseur, devenu un métier d’avenir ici, à Lyon. D’ailleurs, nos bureaux n’avaient pas vécu de rénovations depuis 25 ans, et les murs étaient imbibés d’une odeur de renfermé et de moisis, comme ces odeurs que l’on trouve dans les pièces qui n’ont pas respirées l’air pur depuis un certain temps. La climatisation et l’appareil régénérateur d’oxygène tournaient en permanence, ce qui avait pour conséquence d’imbiber les murs de nos bureaux d’humidité. Je remerciais chaque jour Dieu, d’avoir eu l’extrême gentillesse de n’avoir pas soufflé au rédacteur du journal de me coller à côté des toilettes uniques, par lesquels des vapeurs comme vous les imaginez vous emplissais les narines profondément et d’une façon presque sadique. Souvent j’ai pensé que mon collègue Paul Lacase, avait du mécontenter très fortement le très haut pour atterrir à cet endroit. Son bureau était d’ailleurs bardé de senteurs approchant vaguement le mimosa, aujourd’hui disparut de la surface de la terre, mais il semblait en avoir pris l’habitude. Comme pour excuser ma moquerie, je me dis que c’était toujours mieux que d’avoir sans arrêt des remontées nauséeuses très difficilement contrôlables. Pas évident de travailler dans ses conditions et j’admirer le courage et la persévérance de cet homme devant la difficulté.
C’était un homme gentil au regard tendre, et j’imagine que c’est grâce à celui-ci, qu’il avait pu avoir deux enfants 25 années plutôt. Malgré la gentillesse qu’il dégageait, il n’avait manifestement pas su, ou pas pu conserver sa femme Eliane. Ils ont fini par divorcé il y a de cela 18 ans, un après-midi d’automne, et les outrages et souvenirs de ces temps là, ont laissés sur Paul des traces indélébiles sur son visage aux profondes rides, que l’excès d’alcool avait fini par creuser. C’était un homme intelligent dans ces moments lucides, mais il n’avait désormais que peut de respect pour son apparence. Il était vêtu toujours de la même façon ; un jeans bleu foncée et une chemise rayée aux couleurs bleu et rouge délavées, sur un fond blanc grisâtre qui trahissait son statut de célibataire alcoolique endurcit. Le tout était accompagné de cheveux sel et poivre, un pan de sa chemise sortait de son jeans, laissant entrevoir son nombril et sa barbe de trois jours grisonnante semblée s’être figée dans le temps ; tout comme ses tennis qui n’avait de blanc que le souvenir. C’était cependant un homme d’excellent conseil, et très serviable. Même si quelque fois il lui était difficile de se tenir debout, il faisait quand même son maximum pour rendre service. | |
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| Sujet: Re: Bébé made in Taïwan Mer 21 Oct 2009 - 0:45 | |
| On pouvait lui demander n’importe quoi, il s’exécutait pour faire plaisir ou parce qu’il avait une très grande conscience professionnel, quand il était sobre. C’était un homme très à l’aise avec l’informatique surtout si le bureau avait besoin de renseignements ; une liaison à faire dans le monde ; une urgence médiatique ; cela n’était pas un souci pour lui puisqu’avant de rejoindre notre équipe du journal « l’Echo du monde », il avait été informaticien spécialisé de l’anti piratage que l’on nomme « hacker », mais ses problèmes de divorce et quelques autres ennuies quotidiens personnels, avaient eu raison de sa situation familiale et de son emploi au sein de la société « Microcom Concept », qui fabriquait et mettait au point des systèmes de logiciels d’anti piratage pour le domaine de la finance et tout le haut gratin du même milieu. Sans emplois et désormais sans femmes ni enfants, puisque Eliane était partie avec eux, il avait presque totalement sombré et sans l’aide de sa cousine Danielle Merez, qui se trouve être la femme d’un des actionnaires majoritaire du Journal du nom de Jean Merez, il serait probablement à la rue et criblé de dettes. Jean Merez était un homme grand et assez froid d’apparence, mais c’était aussi un homme qui n’avait pas beaucoup d’humanité. Si Paul était dans nos murs, c’est bien parce que Danielle avais menacé son mari de ne plus se donner à lui sexuellement parlant si il se refusé d’aider un membre de sa famille. Jean avait donc accepté de grès ou de force, mais il s’était juré qu’il le lui ferait payer à sa façon, d’où l’idée de le mettre à côté des toilettes uniques à l’odeur à la limite du supportable … et encore plus quand ce gros bonhomme de Jack Brown était atteint d’aérophagie. Fort heureusement pour Paul Lacase, Jack Brown souvent perturbé par l’alimentation de chez nous était très fréquemment en déplacement aux états unis ou il résidait la plus grande partie de son temps.
En attendant j’avais de très bon rapport avec Lacase, parce qu’on savait toujours ce qu’allait faire l’un ou l’autre avant que cela se produise. On se complétait très bien comme moi les informations et lui les sources ; moi la sobriété et lui l’alcoolisme ou encore moi la machine à taper et lui le réseau d’informations. J’avais réussi à faire de ce vieux grognon un très bon allié
Voila pour un début !! Plus tard rentrerons en scène : Professeur : Yagushi Toshimura Japon Osaka Centre de service Médical d’Osaka. Docteur : May Lingshu Taïwan directeur du centre de natalité à la chaine. Ville de Yuan Lin et d'autres en Russie.
Ce manuscrit à depuis légèrement été modifier pour donner d'avantage de précisions. Cette version la à été volontairement écourté par sécurité afin de préserver le manuscrit contre tout actes de malveillance.
Merci et à bientôt | |
| | | Linda Flamme du forum.
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| Sujet: Re: Bébé made in Taïwan Mer 21 Oct 2009 - 9:03 | |
| J'ai tout lu et je l'ai trouvé très intéressant. Car, malheureusement, si nous survivons aux virus divers, même ceux qui sont emprisonnés dans les glaces millénaires qui sont en train de fondre, ensuite aux bombes atomiques ou guerres chimiques et bactériologiques... Il se peut que notre monde ait le visage de tes écrits. Il y a pas mal de fautes, et certaines phrases sont trop lourdes, car tu pourrais les simplifier en utilisant d'autres thermes. ex : Mais il y avait une femme d’un certain âge derrière un bureau qui me regarda au du dessus de ces lunettes en demi lune d’un air sérieux, - Une femme d'un certain âge, me dévisageait de derrière son bureau, son regard sérieux souligné par des lunettes en demi lune. Et puis j'ai adoré : « bibliothèque municipale, Linda pour vous servir » Je me heurte souvent au même problème, j'écris aussi vite que les mots me viennent, ensuite je corrige, je peaufine, et j'édite. Avant, j'écrivais, je survolais et j'envoyais.... dommage, car un texte bien corrigé et bien relu, c'est un délice de lecture. Remarque il y a peu, j'avais truffé de fautes d'inattention une poésie. Continue ! C'est très bon. Et chapeau, car pour un "anglais" !!! tu maitrises très bien le français ! | |
| | | Starlight PJKing Flamme du forum.
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| Sujet: Re: Bébé made in Taïwan Mer 21 Oct 2009 - 9:57 | |
| Ah oui tient ... merci pour les fautes Linda !! ça me fait plaisir que tu me le dise parce que comme ça je peux les corriger ... idem pour les phrases mais la par contre ça va être beaucoup plus compliqué pour moi. Cela dit je prend l'exemple que tu m'as donné et je vais tenté de l'appliquer. Merci Encore ! | |
| | | Linda Flamme du forum.
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| | | | Starlight PJKing Flamme du forum.
Nombre de messages : 267 Age : 55 Localisation : Alpes Maritimes Date d'inscription : 23/09/2009
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| Sujet: Re: Bébé made in Taïwan Mer 21 Oct 2009 - 15:13 | |
| Oui merci beaucoup Linda j'ai effectivement vu cela et je t'en remercie. Mais il est plus important pour moi d'avoir les critiques et réflexions que les félicitations. Ces dernières ne te font pas t'améliorer, alors que les deux premières oui. Donc je te remercie de ton honnêteté et surtout de ta sincérité. Sa compte beaucoup pour moi ! | |
| | | eoliane Flamme du forum.
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| Sujet: salut starlight Jeu 22 Oct 2009 - 18:35 | |
| j'ai beaucoup aimé lire ton livre raccourci comme tu le dis, effectivement comme Linda te l'a dit il y a des fautes d"orthographe mais quels sont les écrivains qui n'en font pas, l'idée est bonne la construction des phrases est pas mal mais il faudrait raccourcir un peu, en plus ton livre est bien dans l'ère du temps d'un futur proche, bisous | |
| | | Starlight PJKing Flamme du forum.
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| Sujet: Re: Bébé made in Taïwan Jeu 22 Oct 2009 - 21:29 | |
| Merci eoliane ... Ben j'essaie en fait de donner un maxi de détails pour que le lecteur puisse imaginer la scène facilement. Donc c'est vrai que je brode un peu. Merci en tout cas !! Bisou | |
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