La muse d’un
poète
De ma plume
coule les mots
Fait de joie,
fait de tristesse
S’enroulant au
fil de mes maux
Comme un
corps de paresse
De ses écrits se
forment des vers
Devenant des
tierces ou quatrains
S’écoulant de
ses pages vierges
Sous le
stylet tenu de ma main
C’est ma muse
qui m’inspire
Insufflant à mon
âme d’aède
Ces quelques
rimes qui aspirent
A devenir un
beau poème
De ces phrases
calligraphiées
Sur ce si beau
parchemin
Je les ai rédigées
et déposées
Sur cette page
de vélin