Je contemple seulement la lune

édité

Merci pour vos lectures et pour vos commentaires,
Je tiens à retenir ce que j'avais écris
il faut comprendre qu'entre amener et ramener , il ya une grande difference pour un poète, je pense sincèrement que tu n'avais pas compris mon poème.
ramener:

[()]
Étymologie : re- et amener

RAMENER, v. tr.

♦ Amener de nouveau. Ramener un malade au médecin.
♦ À certains jeux. Il vient d'amener un sept ; s'il le ramène, il a gagné.
♦ Être cause qu'on revient. « Sitôt que mon malheur me ramène à sa vue », Racine .
♦ Faire venir des gens qui ne venaient plus. Cet acteur a ramené la foule au théâtre.
♦ Remettre une personne dans le lieu d'où elle était partie, la faire revenir avec soi. Je vous ramènerai dans ma voiture. « Je t'ai ramenée des extrémités de la terre », Bossuet . « Il ramena lui-même trois fois ses troupes à la charge », Voltaire .
♦ Il se dit également en parlant des animaux et même des choses. Ramener les troupeaux du pâturage, un cheval à l'écurie. Vous me ramènerez ma voiture.
♦ Ramener en arrière, forcer à revenir au lieu qu'on avait quitté.
♦ < Ramener sa main, avancer la main qu'on avait d'abord retirée. >
♦ Ramener ses regards, les reporter vers le point d'où ils s'étaient écartés.
♦ Se dit d'une troupe de cavalerie qui, ayant fait une charge qui a échoué, retourne, poursuivie, à la place d'où elle est partie.
♦ < Chir. Rendre à une partie la direction, la place qui lui convient. >
♦ Amener avec soi, en s'en retournant. Le charretier vous apporte du bois ; il me ramènera du vin.
♦ Ramasser ce qui s'écarte ; faire venir devant, dessus, ce qui est en arrière, dessous. Il ramenait sur le devant de la tête ses rares cheveux. Ramener le pan de son manteau sur l'épaule droite.
♦ Tirer à soi. En ramenant la serpe, il se coupa.
♦ Manège Ramener un cheval, lui faire baisser le nez, quand il porte au vent.
♦ Fig. Faire revenir à des lois, à des règles dont on s'était écarté. Ramener à la raison. « J'ai su le ramener aux termes du devoir », P. Corneille .
♦ Ramener de, faire quitter. « Il éclaire les humbles, il les ramène de leurs égarements », Bourdaloue .
♦ Ramener une personne à quelqu'un, faire reprendre à cette personne de bons sentiments pour quelqu'un.
♦ Absol. « C'est le propre des malheurs de ramener à la philosophie », d'Alembert .
♦ Ramener quelqu'un, changer les sentiments de quelqu'un et lui en faire prendre de meilleurs, le radoucir, le calmer. Ramener un ennemi par des bienfaits. Ramener des rebelles.
♦ Fig. Ramener quelqu'un à la vie, le sauver de ce qui menace de lui ôter la vie.
♦ Ce médecin a parfaitement ramené son malade, il a rétabli sa santé qui semblait désespérée.
♦ Ramener une affaire de bien loin, remettre en bon état une affaire qui paraissait désespérée.
♦ Au jeu, ramener une partie, la rétablir.
♦ Faire repasser par un état par où on avait passé. La vieillesse ramène l'homme à l'enfance.
♦ Il se dit de la pensée que l'on fait passer sur ce qu'elle a déjà parcouru. Ramener sa pensée en arrière.
♦ Réduire. Ramener tout au plaisir.
♦ Ramener à soi, donner aux choses un but égoïste.
♦ < Fig. Faire renaître, rétablir. Ramener la fièvre, le calme, etc. >
♦ < Ramener une vieille mode, la remettre en vigueur. >
♦ < Chim. Un réactif ramène une couleur végétale à une autre couleur, quand il fait passer la première à la seconde. >
♦ Se ramener, v. pr.
♦ Se concentrer. Se ramener en soi.
♦ Reprendre le fil d'un discours. « N'ayant pas voulu rompre le fil des affaires d'Angleterre, je me ramène à ce qui se passait dans le continent », Voltaire .
♦ Être ramené à, réduit à. Cette proposition se ramène à cette autre.
♦ Fam. Se ramener, venir. Il s'est ramené avec six copains. Elles se sont ramenées à 23 h !
♦ Fam. Ramener sa fraise ou la ramener, faire son intéressant, intervenir pour protester, râler. Ce n'est pas le moment de la ramener !
© Éditions Garnier, Paris, 2008
amener:


[()]
Étymologie : a- et mener

AMENER, v. tr.

♦ Mener vers.
♦ Fam. Emmener, conduire quelqu'un quelque part. Peux-tu m'amener chez le médecin demain ?
♦ Mandat d'amener, ordre de comparaître devant un juge.
♦ Fig. Amener quelqu'un à une opinion, à un sentiment, faire qu'il l'adopte.
♦ Tirer à soi. Il amène à lui tout le tapis.
♦ Mar. Abaisser, faire descendre. Amener la voile. Amener pavillon, et absol. amener, se rendre.
♦ Introduire, donner occasion à. Ce sont les jeunes gens et les femmes qui amènent les modes.
♦ Amener un incident, une reconnaissance, un dénouement, les préparer avec art.
♦ Au jeu de dés, de trictrac, amener double-deux, sonnez, trois et quatre.
♦ S'amener, v. pr.
♦ Fam. Arriver.
© Éditions Garnier, Paris, 2008
Bonne soirée
Amitiés
Allaoua

édité

Madame, il est temps de comprendre que ta facon de penser est complètement fausse, au lieu de passer ton temps à dénigrer ce qui est juste, écris pour avoir la capacité intellectuelle de comprendre la poèsie des autres.
te ramener raviver deux verbes qui se suivent.
sais-tu que chaque poète a un style, ce style est le poète lui même Madame
un grand philosophe disait :
on ne peut classer le classificateur dans une classification.
je te dis encore que tu ne seras jamais capable de comprendre ma poésie Madame.
Un conseil à te donner:
Ne te presente jamais en correctrice car la pretention est la chose la plus ignoble que l'être humain puisse avoir.
Blaise Pascal disait:
La vanité est si ancrée dans le coeur de l'homme que ceux qui écrivent contre veulent avoir la gloire d'avoir bien écrit.
Merci de cet échange fructueuse, d'habitude je ne repondais pas à ces genres de conduite que je rencontre souvent dans plusieurs forums, pour toi c'est une exception, je n'ai pas du temps à perdre dans ces genres de debat inutile.
Que cette journée te soit douce
Allaoua

Je n'ai pas voulu être blessante et je vous en demande pardon. Jamais je ne me permettrai de dénigrer qui que ce soit. Nous nous sommes sans doute mal compris. Soyez certain que j'aime beaucoup ce que vous écrivez et que je ne suis pas du tout prétentieuse.
J'espère continuer longtemps à apprécier vos poèmes, même si je ne suis pas assez intelligente pour les comprendre.