M'en fous

J'ai écrit ce poème en réponse à quelqu'un qui écrivait que tout lui était égal pourvu qu'il pense à Elle...
et voici le résultat:




Qui veut s'amuser à donner sa version?

Non, non, Mélany, ce n'est pas mal du tout
juste que je me demande si en interlude, tu n'aurais pas dû écrire:
"il faut que je pense à moi!"
car pour l'instant, ce sont effectivement tes études qui font la loi pour toi!

J'ai beaucoup aimé l'idée du coup j'ai tenté un petit quelque chose




Peu m'importent les journées d'hivers
Où le froid, à mes mains, fait des misères
Avec ce linge humide qui ne sèche pas
Et les pieds congelés sous les draps

Pourvu que je pense à lui

Je me moque des factures qui m'écrasent
De perdre constament mes fins de phrases
Courir, faire et défaire, toute la journée
Pour finir la semaine complétement épuisée

Pourvu que je pense à lui

Je ris des gens qui me raccrochent au nez
Comme de ceux qui sont toujours énervés
Les pessimistes qui ruminent et vous ennuyent
Et surtout de tous ces obstacles qui font la vraie vie

Pourvu que je pense à lui

Je me fous des humeurs enfantines,
Qui me font du rire aux larmes etre trop caline
Des anciennes frayeurs un peu bêtes
Et de mes envies incompréhensible de faire la fête

Pourvu que je pense à lui

Mais que j'aime son regard d'homme-enfant
Ses paroles qui me font croire aux envoûtements
Quand il déniche un cadeau imprévisible
Il fait de notre vie, ma foi, ma bible

Il sait que je pense à lui

Magnifique reprise, Rêveuse...ça sent le vécu !!
C'est vrai que "penser à lui, à elle " ça aide vraiment quand tout va de travers, ça aide à ne pas péter les plombs...