L'entraîneuse

Voilà un poème en total opposition avec ta signature
J'aime beaucoup, même si je le trouve péssimiste
Ne pas subir mais vivre !

Pour en revenir aux vers, je les trouve bien tournés, un bon rythme

Mustang, il ne faut pas montrer l'acrostiche comme ça, avec des lettres rouges. Je trouve ça dommage : l'acrostiche est un jeu, qui doit se révéler aux lecteurs attentifs. Enfin, c'est mon point de vue. J'aurais préféré le "trouver" que de le voir sans pouvoir l'éviter en fait...

Sinon c'est bien écrit.

Les autres espaces n'ont qu'à mieux réfléchir. Franchement, à ce que tu dis, on dirait que c'est de la modération pour le plaisir de modérer, sans même réfléchir...

C'est peut-être un jeu, mais c'est surtout un poème "dédié" le plus souvent .
L'originalité, ici, c'est de le faire pour une catégorie de femmes, pas pour une seule.
Myrrha

Myrrha-El a écrit:

mais c'est surtout un poème "dédié" le plus souvent .

C'est vrai. Mais ça reste un jeu pour la personne à qui il est dédié de le découvrir. Et ça reste aussi une façon de dissimuler un message, exemple avec cette ode de Julien Clément au Maréchal Pétain :

Citation :

A NOTRE CHEF, LE MARECHAL PETAIN

Maréchal ! Que ton nom soit gravé dans l’histoire
Et que dans tous les temps on l’entoure de gloire.
Rends à tous ces Français que tu voulus sauver
Du désastre complet qui pouvait arriver
Et l’amour du Devoir et la noble espérance
Pour que bientôt, par eux, revive notre France.

O ! Qu’une légion saine et forte à la fois
Unanime à répondre à l’appel de ta voix
Ranime dans nos rangs cet esprit d’autrefois.
Honneur ! Patrie ! Ces mots étaient notre devise,
Ils le seront toujours, mais sans qu’on les divise
Travail ! Famille ! aussi doivent y figurer
Liant au fier passé notre droit d’espérer
Et nous verrons, demain, la Nation nouvelle
Relever de ses maux notre France immortelle.


J.Clem.
Saint Etienne 1.1 1941

Citation :

En effet, cet Officier de l'Armée française, résistant de surcroît, écrivit une ode au Maréchal Pétain qui renfermait une insulte vis-à-vis d’Hitler, avec cette ironie on ne peut plus savoureuse de savoir que le Gouvernement de Vichy, n’y voyant que du feu, accorda sans restriction la diffusion de cette prétendue élégie.

Dur labeur de l'entrainante qui ne respire que nos soupirs laissent le souvenir du bonheur volé à celles et ceux qui perdent du leur contre quelques piastres abandonnés sur le comptoir de l'espoir