En voici un autre, toutefois je ne sais pas si c'est la bonne section...
Le cœur d'un monstre.
Dans cette poitrine il bat,
Ce cœur palpitant d'amour,
Pour une femme merveilleuse,
Malgré ta nature monstrueuse.
Tes yeux de braise croisent son regard,
Il palpite dans ton corps ce vieux cœur.
Ton sang noir circule dans tes veines,
Et tes dents de vampires impressionnent.
Fait de roc et de glace inerte dénué de vie,
Ton infâme cœur se réchauffe grâce à elle.
Il bat, il vit, il bouge, il est chaud, tu le sent!
C'est ton cœur, ton âme, ton être qui vibre!
Ce ne fut qu'un coup d'un soir entre vous.
Elle suivit son propre cœur en t'approchant.
Puis vous vous êtes rapprochés lentement,
Avant de vous étreindre doucement sous les étoiles.
Tu as sentis cette chose noire battre dans ton corps,
Et tu as compris qu'un humain avait lui aussi en lui,
Un cœur qui bat la chamade quand il aime quelqu'un,
Et que toi aussi tu aimes une femme malgré ce que tu es.
Une lumière perça ce rideau opaque et t'emmena loin de la tourmente et la souffrance jusque dans un lit blanc au côté d'une douce femme maniant l'épée, vivante, frêle, fragile et si forte.
Flora, ta bien aimée, je t'aime mon amour.