Vous qui n'avez rien d'un rêve
Mais qui brillez pourtant
D'une lueur qui enlève
L'ombre des tourments
Vous qui ne souhaitez m'apporter l'amour
Mais qui le répandez pourtant tout autour
De l'abîme de nos peines, à l'envoutant firmament
Des larmes sèches et cruelles, aux rires tonitruants
Vous qui ne lisez mes mots
Que du bout de lèvres
De peur qu'un soit de trop
Nous donne la fièvre
Vous qui n'écoutez que nous
Mais qui entendez la terre entière
Je vous admire et vous veux fier
Pour ma vie jusqu'au bout
, très bel écrit...
