Sujet: Les écrits de Mélanie B. Jeu 19 Sep 2013 - 14:38
Euh, voilà, je ne sais pas trop par quoi commencer. Alors je vais vous présenter une nouvelle que j'ai réalisée pour un défi d'écrivain. Je suis une quiche en conjugaison principalement, donc n'hésitez pas à faire des remontrance.
Défi 4 : Nombre de mots : 250. Handicap : A la première personne du singulier et dans le sexe opposé.
Quand je l’aperçois, là, debout le long du trottoir, je sais que c’est elle. Mon cœur s’emballe et j’ai le souffle court.
Elle est si belle, si merveilleuse et je comprends, tout à coup, que je ne serais comblé que si je la possède entièrement.
Mon corps collé contre le sien, mes deux jambes entourant son enveloppe toute en courbes. Mes mains entourant fermement ses poignées, glissant sur le doux cuir qui les cloisonnent.
J’oserais enfin lui avouer qui je suis, et ce qu’elle représente pour moi : liberté, passion et douce folie.
Mais je me contente de la regarder à travers la vitre de ma voiture, je soupire et je rêve de pouvoir continuer à l’admirer.
A la maison, ma femme m’attend, et je ne peux franchir ce cap si je n’ai pas son accord.
Bientôt, ho, bientôt, ma belle cylindrée, je viendrais t’acheter et nous voyagerons ensemble le long des routes de France.
Alors, qu'elle était le thème ?
P.S: Yami, chuuuuut !!
Dernière édition par Azuriea le Jeu 19 Sep 2013 - 21:16, édité 1 fois
Myrrha-El Flamme du forum.
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Sujet: Re: Les écrits de Mélanie B. Jeu 19 Sep 2013 - 18:10
le thème ? confusion ? déclaration d'amour ?
Une chose est sûre, une voiture n'a pas de "poignets" mais des "poignées" et ça ne se prononce pas pareil ! En revanche tu aurais pu admirer son galbe, sa ligne élancée ou des trucs comme ça. Et autre chose "debout le long du trottoir"... c'est lui ou la voiture ? parce que si c'est de la voiture dont tu parles, là, de l'autre côté de la rue laisserait davantage le doute, parce qu'une voiture "debout..."
Pardon d'être aussi critique, tu as le droit de me maudire! (Surtout que je serais bien incapable de faire mieux !)
Dernière édition par Myrrha-El le Jeu 19 Sep 2013 - 21:04, édité 1 fois
Yami627 Flamme du forum.
Nombre de messages : 591 Age : 34 Date d'inscription : 01/01/2013
Sujet: Re: Les écrits de Mélanie B. Ven 20 Sep 2013 - 12:00
Non, personne ne m'a soufflé. j'ai juste relu un peu plus attentivement et a m'a paru évident ! mais j'aurais pensé que le thème serait plutôt quelque chose du genre "une déclaration d'amour originale"...
Melany Flamme du forum.
Nombre de messages : 18885 Date d'inscription : 21/04/2008
Sujet: Re: Les écrits de Mélanie B. Sam 28 Sep 2013 - 22:01
Génial ce texte ! J'avais lu les com avant (et notamment celui de Myrrha qui a deviné qu'il s'agissait d'une moto), donc c'est vrai que ça parait évident du coup ! ^^
C'est vraiment très bien écrit, bravo !
Myrrha-El Flamme du forum.
Nombre de messages : 4496 Localisation : sur mon petit nuage Date d'inscription : 25/10/2011
Sujet: Re: Les écrits de Mélanie B. Dim 29 Sep 2013 - 8:55
J'avoue que j'ai trouvé ça trop facile, parce que le début est trop direct en fait. Me suis dit : "on essaye sûrement de faire passer les choses pour ce qu'elles ne sont pas"
*s'enfuit*
Azuriea Etincelle
Nombre de messages : 61 Age : 36 Localisation : IDF Date d'inscription : 05/09/2013
Sujet: Re: Les écrits de Mélanie B. Dim 29 Sep 2013 - 20:26
Si je peux me permettre la présentation d'un nouveau texte, afin de connaitre vos avis, de peut être relever des fautes d'orthographe... (ça c'est plus courant). et euh voilà =).
Bisous.
Le 29 septembre 2013, à Paris.
À tous les lecteurs de ce livre
Selynia:
Cher tous;
Le moment est arrivé à parler de mes aventures avec vous. De vous les confier, pour qu’à travers mes récits, vous les vivez-vous aussi. Mais surtout, que pour certaines, vous en tirez les leçons nécessaires.
Avant de vous compter mes histoires, il faut que je vous explique comment tous ceux-là met arrivé, afin que vous compreniez qui je suis, et d’où je viens. Nous étions arrivés, mon père, ma mère et moi, sur le sol Français quand je n’étais âgée que de quatre ans. Mon père avait retracé l’histoire de notre peuple à travers divers romans historiques et il avait été sollicité pour plusieurs conférences dans ce pays d’Europe. Bien sûrs, nous l’avons suivies, car il n’était pas question de séparation. C’est comme cela que pendant deux ans, je voyageais à travers les paysages Français avec ma mère et mon père, s’arrêtant dans de nombreuses villes. Mais, j’étais encore bien trop petite pour comprendre ce qui se passait.
Je ne suis rentrée à l’école qu’à l’âge de six ans, lorsque mon père, souffrant de maladie grave avaient demandé à être soigné par les meilleurs médecins de Paris. J’ai évolué dans cette ville, apprenant leurs coutumes, leurs mœurs, et la vitesse des piétons. Ma mère continuait à m’inculquer les valeurs de notre peuple. Une tribu peu connue d’Indien d’Amérique, mais qui à garder en son cœur toutes ses coutumes. La relation avec la nature, avec les dieux, la magie dans chaque chose, la transmission des pensées de chacun… Mon père mourut alors que je venais de fêter mes dix ans. La nuit de son décès, j’eus une forte fièvre qui me fit délirer pendant près de trois jours.
Depuis ce jour, tout a changé. Ma perception du monde est différente. Je vois des choses que je ne devrais pas voir. Il arrive que mon corps s’arrête dans le présent et part voguer sur différentes histoires qui se sont déroulée dans le passé. Des aventures d’il y a vingt ans, deux cents ans, ou bien plus anciens encore. Il me suffit d’un endroit, d’un objet, d’une parole… Et mon esprit s’égare, s’envole afin de comprendre la réalité. Ce n’est pas facile à vivre, ma mère a dû me retirer de l’institution scolaire afin de m’instruire à domicile avec des percepteurs. Heureusement que la vente des livres de mon père ainsi que ses recherches nous avaient laissé emplacement de quoi vivre.
Au départ, je m’absentais à peine trente minutes, puis plus les années passent, plus je mon âme errait plus longtemps, allant jusqu’à la compréhension de l’événement qu’on me présente. Ma mère n’est pas inquiète, elle dit que c’est un don puissant que les dieux m’ont offert. Le même que celui que mon père possédait. Simplement, lui, ne voyaient que les éléments de l’histoire de notre peuple. Moi, je pouvais voir le passé de toutes choses, tant que l’on m’en donnait l’accès. Ma mère, veillait sur moi le plus souvent possible. Sans comptais que j’étais plus fragile d’après elle à cause de mes dons d’empathie. Je ressentais les émotions de chaque personne qui m’entourait, bonne ou mauvaise. Colère ou amour, tristesse ou émoi… Ma mère me protégeait du monde extérieur, mais je grandissais et voulais faire mes propres expériences de la vie.
Ça avait été très dur pour ma mère quand je lui ai annoncé que je voulais retourner en institution classique, auprès des personnes normales. Je me souviens qu’elle m’avait dit : « mais, ma chérie, tu es normale ». De ce fait, j’avais réussi à la persuader que si j’étais une jeune fille comme les autres, je pouvais m’intégrer permis d’autres élèves, afin de vivre le plus normalement possible.
Je trouvais important de vous expliquer mon milieu de vie, pour que vous compreniez pourquoi, malgré ce don, qui peut passer pour une malédiction, je vis parmi mes paires en menant une vie comme tout le monde. J’ai pour la première fois retracé quelques aventures qui me sont arrivées, et j’espère, de tout mon cœur, qu’elles vous tiendront en haleine, comme elles l’ont fait avec moi, lorsque je les aie vécues.
Peut-être que par la suite, je vous retranscrirai de nouvelles histoires concernant mes voyages temporels, mais ces derniers ne me laissent peut de répit avec le temps.
Je vous embrasse.
Bien à vous.
Selynia
Myrrha-El Flamme du forum.
Nombre de messages : 4496 Localisation : sur mon petit nuage Date d'inscription : 25/10/2011
Sujet: Re: Les écrits de Mélanie B. Lun 30 Sep 2013 - 15:55
Citation :
Azureia a écrit:
Selynia:
Cher tous;
Le moment est arrivé à parler de mes aventures avec vous. De vous les confier, pour qu’à travers mes récits, vous les vivez-vous viviez vous aussi. Mais surtout, que pour certaines, vous en tirez tiriez les leçons nécessaires.
Avant de vous compter (oh!) conter mes histoires, il faut que je vous explique comment tous ceux-là met (horreur ! c'est pire que ta soeur!!) tout cela m'est arrivé, afin que vous compreniez qui je suis, et d’où je viens. Nous étions arrivés, mon père, ma mère et moi, sur le sol Français (pas de majuscule) français quand je n’étais âgée que de quatre ans. Mon père avait retracé l’histoire de notre peuple à travers divers romans historiques et il avait été sollicité pour plusieurs conférences dans ce pays d’Europe. Bien surs sûr, nous l’avons suivies suivi, car il n’était pas question de séparation. C’est comme cela que pendant deux ans, je voyageais à travers les paysages Français avec ma mère et mon père, s’arrêtant dans de nombreuses villes. ( phrase incorrecte) Mais, j’étais encore bien trop petite pour comprendre ce qui se passait.
Je ne suis rentrée à l’école qu’à l’âge de six ans, lorsque mon père, souffrant de maladie grave avaient demandé a demandé à être soigné par les meilleurs médecins de Paris. J’ai évolué ( ? ) dans cette ville, apprenant leurs (celles de qui?) coutumes, leurs mœurs, et la vitesse des piétons. (quel rapport avec ce qui précède,?) Ma mère continuait à m’inculquer les valeurs de notre peuple. Une tribu peu connue d’Indien d'indiens d’Amérique (du Nord? du Sud ? Centrale?),(hou la la, je me demande si je dois continuer tout ce qui concerne mes frère indiens me tenant particulièrement à cœur) mais qui à gardera su garder en son cœur toutes ses coutumes. La relation avec la nature, avec les dieux, la magie dans chaque chose, la transmission des pensées de chacun…( l'indianité ne se résume vraiment pas à ça !) Mon père mourut alors que je venais de fêter mes dix ans. La nuit de son décès, j’eus une forte fièvre qui me fit délirer pendant près de trois jours.
Depuis ce jour, tout a changé. Ma perception du monde est différente. Je vois des choses que je ne devrais pas voir. Il arrive que mon corps s’arrête dans le présent et part parte voguer sur différentes histoires qui se sont déroulée déroulées dans le passé. Des aventures d’il y a vingt ans, deux cents ans, ou bien plus anciens anciennes encore. Il me suffit d’un endroit, lieu, d’un objet, d’une parole… Et mon esprit s’égare, s’envole afin de comprendre la réalité. Ce n’est pas facile à vivre, ma mère a dû me retirer de l’institution scolaire afin de m’instruire à domicile avec des percepteurs. Heureusement que la vente des livres de mon père ainsi que ses recherches nous avaient laissé emplacement ( oh mon dieu! ) amplement de quoi vivre.
Au départ, je m’absentais à peine trente minutes, puis plus les années passent, passaient (tu ne tiens jamais compte de la concordance des temps,) plusje mon âme errait plus longtemps, allant jusqu’à la compréhension de l’événement qu’on me présente. (c'est assez incompréhensible) Ma mère n’est ( tu changes encore le temps du récit) pas inquiète, elle dit que c’est un don puissant que les dieux m’ont offert. Le même que celui que mon père possédait. Simplement, lui, ne voyaient que les éléments de l’histoire de notre peuple. Moi, je pouvais voir le passé de toutes choses, tant que l’on (qui?) m’en donnait l’accès. Ma mère, veillait (tu reviens au passé)sur moi le plus souvent possible. Sans comptais (infinitif!) que j’étais plus fragile d’après elle à cause de mes dons d’empathie. Je ressentais les émotions de chaque personne qui m’entourait, bonne ou mauvaise. Colère ou amour, tristesse ou émoi… Ma mère me protégeait du monde extérieur, mais je grandissais et voulais faire mes propres expériences de la vie.
Ça avait été Ce fut très dur pour ma mère quand je lui ai annoncé que je voulais retourner en institution classique, auprès des personnes normales. Je me souviens qu’elle m’avait dit : « mais, ma chérie, tu es normale ». De ce fait, j’avais réussi à la persuader que si j’étais une jeune fille comme les autres, je pouvais m’intégrer permis d’autres élèves, afin de vivre le plus normalement possible.
Je trouvais important de vous expliquer mon milieu de vie, pour que vous compreniez pourquoi, malgré ce don, qui peut passer pour une malédiction, je vis parmi mes paires (hi hi! de chaussettes,) pairs en menant une vie comme tout le monde. J’ai pour la première fois retracé quelques aventures qui me sont arrivées, et j’espère, de tout mon cœur, qu’elles vous tiendront en haleine, comme elles l’ont fait avec moi, lorsque je les aie vécues.
Peut-être que par la suite, je vous retranscrirai de nouvelles histoires concernant mes voyages temporels, mais ces derniers ne me laissent peut de répit avec le temps. (ça ne veut rien dire)
Je vous embrasse.
Bien à vous.
Selynia
J'ai beaucoup hésité à te corriger. Ton texte est, à mon avis , à revoir totalement en te décidant une bonne fois pour le récit au passé (c'est mieux, même s'il faut de temps en temps utiliser le passé simple) Jusqu'au moment où tu considères que ton héroïne parle au présent. Je n'ai pas corrigé toutes les fautes, mais je les ai au moins soulignées. Il y a beaucoup de redites et de passages qui ne veulent pas dire grand chose. Je me demande si tu as déjà lu quelque chose sur les indiens d'Amérique ! Il faut mieux expliquer le don de son père (je suppose que tu veux parler de la quête de vision... à moins que ce soit du chamanisme) Quant au don de sa fille, il faut dissocier ce que son père lui a transmis par sa mort de ce que les esprits (ou le Grand Esprit) lui ont transmis. Le don de voir l'avenir? le don de voyager dans le temps? le don d'ubiquité? (celui là, je voudrais bien l'avoir !)
Bref, je reconnais que je suis très sévère, mais franchement, c'est entièrement à revoir. Ne m'en veux pas si je dis ce que je pense ! Courage, je suis sûre que tu peux arriver à trouver ce que tu cherches!
Azuriea Etincelle
Nombre de messages : 61 Age : 36 Localisation : IDF Date d'inscription : 05/09/2013
Sujet: Re: Les écrits de Mélanie B. Lun 30 Sep 2013 - 17:19
Je ne t'en veux pas, c'est un premier jet. Donc je savais qu'il y avait des beaucoup de choses à revoir. Pour les indiens d’Amérique, non je n'ai pas fait tant de recherche que ça comparé à d'autres sujets, donc oui, ça doit effectivement ce ressentir.
Pour ce qui est du temps... C'est mon gros défaut, avec la conjugaison. J'ai vraiment du mal à le concorder -_-
Citation :
Quant au don de sa fille, il faut dissocier ce que son père lui a transmis par sa mort de ce que les esprits (ou le Grand Esprit) lui ont transmis. Le don de voir l'avenir? le don de voyager dans le temps? le don d'ubiquité? (celui là, je voudrais bien l'avoir !)
Enfaite, j'ai sans doute très mal expliquer cette partie. Car le pouvoir de son père est transmis par lui, à sa mort. Mais c'est un don transmis avec l'aide des esprits, car c'est eux qui accède ou non à la requête de lui transférer son don.
C'est le don de voyager dans le passé et d’empathie.
Je vais prendre le temps de lire tes remarques sur le texte. Pas tout de suite, car il faut en priorité que je me focalise sur mes oraux Mais aprés.
Merci en tout cas d'avoir prit le temps de me lire et de m'apporter des éléments de correction.