Une Trêve
Un doux soir
Ecrite pour un livre
Un moment
Une sensualité
Alliée
Une Vérité.
Il était un jour, un Troubadour des nébuleuses
Se tarissant dans la littérature et poésie joyeuse
Il s’inscrit sur des forums avec envie et espoir
De partager sa passion pour les vers miroirs
Il s’endurcit comme la Roche
A une femme, a son approche
De la voir, sous ses lignes, la réalité
De Sa vie.. Morne de contraintes ajoutées
Avec un vrai grain de Dame
De cœur qu cœur en flamme
Parsemant de sa touche, ces écrits
Pour rêver et sortir un peu de sa Vie
Quand tombe à son Ouest, le nid
Du levant jaune, sur ses draps qui la lie.
--
De coups de chœurs en fantasque atypique
L’étranger W, soigne le Glas de sa pique
Pour plaire à une brune du lointain Rennes
Quand d’autres s’y essayent, en vain
Ecrire rien que pour être son bohème
Cet inconnu et invisible diadème
Des sabots répétés en ces déplacements
Frappant sa poitrine de Folie
Un mois d’automne, a sang
La Dame de Fer, t’attends, içi.
--
De corps de cœur, en cou de deux pies
L’estête de son esprit, enfin, vit
De cette charnelle femme pimentée
Que son attention passionnée emplit
Utopie pensée, bien en vrai
N’étant jamais un homme sage
De pays, passades à deux pas sages
Je me suis laissé guidé
Dans le Voile de tes ballets
Dans le Volcan de l’émotion
Passion, de toutes ces chansons
Si fortes en Cygnes sacrées… Oui !
Que de belles choses, tu m’as appris
--
Fantasme
Réalité
Je te sais et te serais toujours contre
L’encre chiné de ton échine dans l’ombre
Où ma vie n’aura plus de fuite
A nous d’y donner … une Suite.
Le jeu, l’Amour seront-t-il le sombre
Des lumineuses filantes de ce ciel?
Non, Un réel, fantasme fidèle
De notre Existance.
A Vous, A Nous,
A Eux,
A L'oisillon,
Romann, NéO . Septembre 08