Préférer la nuit

Préférer la nuit

Lune, entre brûlante chaleur et lumière dorée,
Je vous voyais soudain geindre avec le temps.

Les étoiles quant à elles, le ciel de leur splendeur nacrée
Illuminaient flots et bruits, murmures du vent;
Ainsi je voyais aller et venir les parfums de la nuit.

Mais il fallut que d'un seul geste mais sans aucun bruit,
Les pas se fassent entendrent, prolongés mais indescriptibles
Pour tétaniser la brise nocturne en poussant de grands cris.

Long râle poussé d'une créature pour moi inflexible,
L'air du matin passait sur les champs, les prés
Cette arrivée d'une si brûlante lumière, c'était horrible...

Et je passais de l'obscur au clair, mais l'obscur m'allait mieux;
Frissonnant en plein jour, la nuit semblait s'être arrêtée,
Pourtant il m'arrivait de repenser à toi en ce bleu;
J'aurai préféré continuer à pleurer du noir pour l'éternité...

Invité

Merci Fauve noir, pour le partage de ce poème.
Je pense que tu dois ou tu as passé par des moments difficiles.
Quand le cœur est en peine, que la vie est difficile, c’est vrai que l’on refuse la lumière.
Une grande déception probablement.
Mais sincèrement, je ne distincte pas très bien le fil conducteur.

Smile

C'est un poème bien construit Smile

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