Il fut un temps

Je goûte à tes lèvres, d’une douceur infinie
Je refais ce rêve où tu es en vie
J’imagine un présent, qui pourrait être
Savoure cet instant, éloigne les peut-être

Je caresse ta peau, encore et toujours
Je te vois si beau avec les yeux de l’amour
M’accroche à l’idée que tu es présent
Les paupières baissées face à mon tourment

Nous étions si bien, brefs instants de partage
Ceux dont je me souviens, les revis avec rage
Et je serre les poings, ces larmes qui coulent
Dans ma tête sans fin, cette scène se déroule

Nous aurions pu fuir, ne plus y penser
Et nous souvenir qu’on avait flippé
Mais tu as choisi et tu m’as guidée
Le bonheur d’une vie : aimer à en crever

Merci Melany.... Triste, c'est un peu le but d'un poème tourment On se vide le coeur et la tête, les mots une fois posés n'appartiennent plus à l'esprit, c'est une bonne thérapie

je suis toujours aussi sensible à tes poèmes... et les mots que tu emploies montrent bien à quel point les faits qui inspirent ce poème te déchirent le coeur... ah que la vie est ingrate !

Très beau poème, plein de douceur et de mélancolie.

Quand l'absence est insupportable, on ferme les yeux. Une pensée, une musique, une larme ou un sourire...Et pendant cet instant fugace, celui qui nous manque tant est là.

Je ne reçois plus aussi bien les suivis, c'est un peu la galère

Merci les garçons vos mots me vont droit au coeur.... Cela ne reste qu'un poème.....