Sur la pente...

Ainsi déposée... délicatement parfumée,
Légèrement insouciante, l'air désabusé,
Sur mon épaule, en fin de soirée, amusée,
Tu m'as malicieusement regardé !

Tel le papillon sur la pente... posé...
Sur mon épaule, ton cœur, as-tu voulu reposer...
Et si bien qu'il n'a plus jamais décollé...
Tel, ainsi, le moment de tes ailes... ai-je préservé.

Ainsi, sans peur de te perdre, tu es restée.
Et chaque papillon sur la pente, resté,
Nous emmène subtilement à nos instant réservés,
A ce qui est le parfum des Dieux, préféré...

Toi sur la pente, la pente de ton instant déposé.

Trop mignon ce petit poème d'amour, Damien !

Bravo.

Sur la pente qui nous fait glisser doucement vers une attirance, vers un coeur tout prêt à recevoir le papillon, une pente qu'on peut difficilement remonter...Tout simplement parce qu'on ne le désire pas. Un chute libre en douceur.

C'est vraiment très beau, j'ai beaucoup aimé. Bravo.

j' adore

Mélany : merci pour ton bravo chamarré !

Gardian : ému par ton mot et notre émotion partagée !

JeanCharles : touché par ta fidèle lecture ainsi témoignée.

Merci à vous trois.

Merci pour la douceur de tes mots. Ce fut un plaisir de te lire.

Très joli texte écrit avec sensibilité, très doux

Bravo

Merci beaucoup pour ce très beau partage magnifique

toutes mes amitiés

James

je suis totalement sous le charme ... comme Jean charles je ne dirai que deux mots de plus :

j'adore !!

bravo

marie

Merci,

Ce n'est pas à vous que je me permettrai d'expliquer à quel point, il est bon de lire ces mots plus au moins longs qui font que le compte soit bon de bonheur et de plaisirs partagés !

Alors, les amis... MERCI ! Si, si et vous savez que trop bien souvent (à mon goût) je suis emporté par vos mots flottant, déroutant, enjôleurs...

Alors, vive les mots qui glissent sur nos joues comme les larmes de joie et de bonheur partagées.

Alors, alors, alors quoi ?

Alors ce n'est que plaisir de faire plaisir

Biz Damien

C'est craquant à souhaits!!!
merci a toi pour partager avec des mots si tendres un instant presque indescriptible

c'est beau...

J'aime bien ton poème, mais je dois avouer que j'ai été irrité par "trop" de rimes en [é].

Nous partageons... un instant qui ne m'appartient pas et que la sublime personne rencontrée, sur un "arrêt presque éternel" laisse glisser sur mes paupières étonnées de tant de beauté. Tout est en "é", tout est en "ça", tout en "nous", instant brûlant, éternel et chatoyant.
Si la rime est en "é"... peut être, sommes nous, suis-je dans l'orangé des sentiments...

Merci à vous tous. Et si vous saviez à quel point est-elle merveilleuse et quel fut ce merveilleux instant partagé avec vous.