CHANT GLORIEUX
Le soleil nous chauffe vers le cœur
D'un enfant où l'espoir vient que la maladie
N'existe dans lac de la vie et de l'espérance
D'un calme profond d'une plaine remplie
D'animaux où les chevaux galopent joyeusement
Pour suivre les chants d'un indiens appelé cheval
Fougueux chantant ainsi les âmes anciennes
Pour qui la joie et leur peine d'une gloire victorieuse
Au paradis des anges où plus rien ne les atteint...
jean charles