Dans les strates d'Afrique ,
Déambule un fleuve .
Il n est visible que du coeur ,
De notre chère planète .
Architectes d antan a aujourd'hui ,
Ont conçu des édifices imposant ,
De babel aux 6700 km de la muraille .
Rien ne les arrêtent .
Par folie ou peur du voisin de couleur ,
Par louanges a nos chères divinités,
Par besoin de prouver son dévouement .
Pourrions nous pas construire ,
Des cités en Afrique faites
De blocs de verres assombris ?
Des digues pour nos villes côtières ,
En bloc de verre imperméables ?
Les idées ne manquent pas .
Tous cela pour que ce fleuve puisse ,
A nouveau nourrir ces peuples sans destin .
Probablement des milliards de tonnes ,
De sables a fondre par électrolyse .
Pour que l'Afrique revive a nouveau ,
Que ca flore et sa faune renaissent ,
Que sont peuples enfin vivent de la terre ;
A nouveau verte .
mais qui voudrais cela ?
de quelles misère parlerions nous ?