Et s'élève une symphonie,
Le cristal d'une nostalgie,
Passe une étoile, vole un soleil,
Naît une opale, une âme veille...
Et quand tout s'est effacé,
Reste un silence à capturer,
Au creux de mots qui nous emmènent,
Bien plus loin qu'un seul "je t'aime"...
A l'ombre des Dieux oubliés,
Laisser le ciel se décrocher,
Et sur un fil en équilibre,
S'approprier l'inacessible...
Puis s'octroyer un dernier effort,
Pour se passer de ses remords,
Et enfin, comme une évidence,
Recommencer une autre danse.....
Rien n'est une fin en soi, rien n'est dit, et tout est à supposer.....