Que reste-t-il de tout ces maux...quand l'absence les a volés.
Où sont donc tous ces repos...qui nous étaient tant destinés.
En bannissant nos illusions...que reste-t-il à espérer ?
Que font donc tout ces bâteaux...qui étaient censés nous guider.
Sur quoi se posent tous ces rêves...et dont rêver n'a pas suffit.
Où s'envolent toutes ces chimères...qui donnaient un sens à cette vie.
Où s'étalent tous ces regrêts...qui nourrissaient nos pires silences.
Quand il ne reste rien de vrai...à quoi bon une autre danse.
Qui a pu franchir ces portes...du moins, qui a essayé,
D'avancer et faire en sorte...que rien ne puisses les refermer.
Et au fond de chaque histoire...se dresse ce rempart incertain,.
Un autre côté du miroir...le seuil d'un chagrin clandestin.[img][/img]