Le coeur a parlé dans ton poème, beaucoup de générosité et d'affection, cet homme pourrait un jour être l'un de nous, c'est lamentable qu'à notre époque, ce fléau que nous surnommons la misère s’accroisse. Je vais parfois à Nice dans le quartier du marché. A sa fermeture de 13h une multitude de personnes âgées ramassent les fruits et légumes tombés au sol ou font simplement les poubelles. Des gens qui ont travaillé toute leur vie et à leut retraite, n'ont pas de quoi manger. Ça me révolte!
Ton poème est beau, d'abord pour son écrit et ensuite par la grande bonté qui se dégage au delà des vers.
Amitiés émues.