APPRÉHENSION….
Comme j’appréhende ce silence oppressant,
Signe d’un malaise certain quelque part
Il n’y a plus de joie, rien qu’un vague regard
Que se passe-t-il encore maintenant ?
J’ai cette sensation soudain de menace et de froid
Cette déception qui monte du plus profond de moi
Tu dois bien rire de nous toi l’ange moqueur
De tout ce qui se passe en cette heure
C’est ton bonheur qui t’enivre, ton moment de gloire
Mais n’oublie pas que l’on n’est pas encore au soir
Et que de volonté nous n’en manquons point
Et que quand on s-aime, on n’écrit pas une histoire sans fin….
RÊVERIES