Que n'êtes vous atroces
Que n'êtes vous vides
Femmes sans l'amorce
De la moindre ride
Vos sourires figés
Dans un rictus d'éternité
Ainsi vous osez
Vos moquez de la simple humanité
Nous ne sommes éternels
C'est là notre moindre défauts
Comme des anges sans ailes
Des poissons sans eau
Car il nous faut vivre
Pour toujours partir
Peu importe le livre
On fini de le lire
Mais dans votre combat
De remonter le temps
Vous n'êtes que des guerriers las
A des monstres semblables
Il n'y a plus beau visage
Que celui qui ridé nous conte
Un temps d'un autre âge
Semblable aux livres des contes