Bonjour

Merci pour votre accueil !

Et me voilà, de votre site sur le seuil

Permettez que dans votre maison je jette un œil
Car réservé je suis mais avec un cœur sans écueil

Dans votre salon me tendent les bras de vos fauteuils
Je m'assieds et j'espère déjà que nos mots veuillent
Se mélanger s'échanger poétiquement sur la feuille
Et deviennent des farandoles de plaisirs en recueil.

Merci pour votre accueil
Voilà j'ai bien franchi le seuil.

bonjour

coucou Bernard et bienvenue a toi !!!

Marie

Avé Bernard, Morituri te salutant

Hella Bella Linda, mes respects Jeancharles, kurukuku Marie, Quant à toi Tari...
Merci pour vos petits mots forts sympas.
Heureux, très heureux de partager avec vous et comme l'a dit la mère de Napoléon le Grand : "Pourvu que ça dure !".

Salut toi, comme l'a dit Linda, tu en ami du temps,
heureux de te lire parmi nous

BERNARD a écrit:

Merci pour votre accueil !

Et me voilà, de votre site sur le seuil

Permettez que dans votre maison je jette un œil
Car réservé je suis mais avec un cœur sans écueil

Dans votre salon me tendent les bras de vos fauteuils
Je m'assieds et j'espère déjà que nos mots veuillent
Se mélanger s'échanger poétiquement sur la feuille
Et deviennent des farandoles de plaisirs en recueil.

Merci pour votre accueil
Voilà j'ai bien franchi le seuil.

......Et voilà, de nos mites on fait le deuil

Permet à ta raison d'en délivrer le miel
De la réserve du chef, du divin au ciel

Canapé, pouf ou confident
Assis, avachis; alertes et confiants
Dans la bienvenüe - papier arché
Paroles de traces, mots-fusée

Merci pour le Mareuil
Espérons que tu en aies toute une caisse. Et du Graves aussi, c'est bon. Sans oublier la pina collada au Grand Marnier; un beau cercueil!

A bientôt de te voir, vif écureuil - ça c'était pour la rime que t'avais pô trouvu, na!

Message personnel de vif écureuil à tendre épagneul

Désolé pour les trous dans ta couverture...
Mais le mythe des tartines beurrées au fiel
Provenant des temps archéens j'aime
Tout comme les belles Thraces
Qui laissent dans nos cœurs d'évanescentes farces
Dans l'arène suis prêt à jouter avec toi
De boîtes en sapin à casser et n'arrêter de boire
Que lorsque le premier d'entre nous sur les sommets de l'Himalaya
Des glaçons philosophiques ira chercher.

Aux lendemains qui chantent à l'heure où blanchit la campagne et où roussis par une nuit blanche, grisé de mots, d'idées et de Grand Manier, nous regarderons l'écume des vagues mourir sur le sable...

"Le seul moyen d'obliger les hommes à dire du bien de nous, c'est d'en faire" Volaire.