Au nom de l'amour, toi mon aimée,
N'entends-tu pas mon appel ?
Celui que l'on nomme, l'appel du dévot ?
Quand le dévot prie l'aimée de venir ?
Te voilà enfin, princesse d'orient,
Laissez-là vos ornements je vous prie,
Vos cheveux, vos lèvres et votre présence suffisent,
Qu'attendez-vous pour exaucer notre dévotion ?
Tous sont là, violons et guitares,
Pour que nous puissions valser...
La gauche dans ton dos, ma droite dans ta gauche,
Yeux dans les yeux, ma colombe de passion...
Promenons-nous, près de la rivière...
Garde ma main dans la tienne,
Enchante-moi de ta douce voix,
Envoûte-moi de ton parfum voluptueux...
Somptueuse et sublime voix à mon ouïe,
Humble et divine princesse à mes yeux,
Douceur et tendresse envers nous,
Mystérieux cieux dans tes yeux...
Ignore ceux qui parlent du septième,
C'est dans les sept que nous voyageront,
Ainsi, nous serons des rares à atteindre le huitième,
Le paradis où règne la plénitude et l'ataraxie...