J’éteins tout sentiment de malignité

J’éteins tout sentiment de malignité

J’éteins tout sentiment de malignité
Sans concevoir des pensées négatives
Ou tomber dans l’étrange absurdité
Qui reflète l’incapacité maladive

À vivre dignement dans une société
Égalitaire ; La curiosité m’inspire
La noble envie de connaître la vérité
Sans jamais craindre les vampires

Qui sucent le sang des civils désarmés,
Car je n’ai pour juge de mes actes
Que ma conscience, mes vers rimés
Sont la lumière qui dévoile les tracts

De propagandes massives et racistes
Que les ennemis de la paix propagent
Pour étouffer les discours pacifistes
Des sages qui veulent abolir l’esclavage

Odieux que les dictateurs fascistes
Pratiquent sans admettre que le désir
De domination est le poison funeste
Qui détruit l’humanité sans agrandir

Les rêves des abominables criminels,
Ou renforcer la capacité de vaincre
La peur pour tendre la main fraternelle
Sans se déshonorer par les massacres.

Dad Allaoua