Déchéance,
De regards attristés en visages contristés
Et puis de bonheur perdu en malheur venu
Je fuis mon destin comme un pauvre hère affolé
Un soleil noir me hante, mais il reste inconnu.
J'ai la folie dans l'esprit, un obscur délire
Qui me transforme chaque jour en proie torturée
Au fil du temps, la vie coule sans aucun plaisir
L'alcool me joue des tours, et j'en suis tout troublé.
La mort est ma maîtresse, dans ses bras qui m'enlacent
Je connais les cauchemars de la nuit, au seuil
De l'oubli, noyant mes rêves de gloire, elle est lasse
De me voir ici bas et veut porter le deuil.