Si ma main atteignait la roue de la Fortune
Je lui dirais que ses caprices m’importunent
Tu prodigues à l’un tes bienfaits par millier
L’autre mange son pain d’orge dans l’infortune
Si ma main atteignait la roue de la Fortune,
Je lui dirais que ses caprices m’importunent :
Galette d’orge pour l’un, que souille le sang ;
Tu décroches pour l’autre, ô Fortune, la lune.