La horde,
La horde sauvage, des barbares dévastant la terre
Qui mettent à feu et à sang en d'affreux carnages
Des peuples ; des hommes et des femmes meurent dans leur village
Un charnier humain causé par ces bêtes de guerre.
La mort au bout des glaives, la haine au fond du cœur
L'immonde monstre, cette vermine puante, plaie des enfers
Exhale l’horreur dans des odeurs putrides dans l'air
Les cadavres pourrissent au soleil de la terreur.
La campagne décimée, la meute, sanglante s'en va
Conquérir dans d'autres contrées, l'âme des morts vivants
La grande faucheuse récolte ses fruits, depuis mille ans
L'esprit du monde torturé, perdra ou vaincra ?